Le premier album de P’tit Belliveau, Greatest Hits Vol.1, paraîtra le 27 mars avec une suite d’histoires volontairement simples, un réconfort qui vient de la mer et de ceux qui mènent des petites batailles sans faire de vagues.
On savait déjà que l’artiste acadien avait des choses à dire à sa manière, mais c’est maintenant que l’histoire se concrétise. Avec son approche unique de la musique où le banjo rencontre l’électro comme s’ils avaient toujours été frères, ce premier long jeu transcende les genres et les mots. Son lexique particulier se décline pour nous dans un portrait jeune et préoccupé par rapport à la vie adulte et ses aléas. Les mots de l’auteur-compositeur-interprète épousent un genre qui se redéfinit et qui n’a pas fini d’évoluer. Les deux mains sur une variété impressionnante d’instruments, P’tit Belliveau partage la réalisation de l’album avec Emmanuel Ethier. Le mixage a été assuré par Samuel Gemme et Ethier.
Greatest Hits Vol.1 est disponible en précommande dès maintenant.
Ne manquez pas le spectacle de lancement à Montréal le 1er avril à L’Esco! Plus de dates de spectacles seront annoncées prochainement.
Après Les bateaux dans la baie, premier extrait dévoilé sous Bonsound l’automne dernier, P’tit Belliveau nous offre maintenant Income Tax, une chanson synth-country lo-fi à saveur disco-funk. Entre La Baie et Moosehorn Lake, P’tit Belliveau se place devant les responsabilités qui pèsent sur lui et fait la liste de ses constats désemparés. Sur Income Tax, il blow 200 $ à Walmart parce que son retour d’impôt lui brûle les doigts et que, pour une fois, son argent n’est pas dans les poches du gouvernement. L’artiste s’installe confortablement entre le désir de liberté et l’obligation citoyenne.
Income Tax est accompagnée d’un vidéoclip, réalisé par P’tit Belliveau lui-même, à regarder et partager via YouTube.
Income Tax est disponible sur toutes les plateformes numériques.
Originaire de Baie-Ste-Marie en Nouvelle-Écosse, P’tit Belliveau a grandi dans une communauté francophone insulaire entourée d’anglophones. C’est néanmoins dans sa langue maternelle qu’il a fait sa grande entrée aux Francouvertes en 2019 en étant finaliste auprès de O.G.B. et Alex Burger. Installé à Moncton au Nouveau-Brunswick depuis près d’un an, il garde près de son coeur l’esprit de communauté de son bout de pays. Les lacs, la pêche et la nature s’érigent ainsi au cœur de son inspiration.
La musique a pris racine dans son cœur grâce à la radio communautaire locale de Baie-Ste-Marie où il a cueilli les premières bribes de ce qui deviendrait son essence à lui. On y jouait constamment des musiques faites DIY, ce qui prend vie et s’incarne aujourd’hui dans ses propres sonorités lo-fi, et son désir d’intégrer des drum machines dans une chanson folk ou bluegrass.
Sachant raconter le quotidien comme pas un, P’tit Belliveau décline une musique folk-country aux accents électros inspirés du feel des lecteurs cassettes.