Communiqué pour diffusion immédiateMontréal, le 02 mars 2021

Laurence-Anne lance Nyx, un nouvel extrait tiré de Musivision, son deuxième album dont la sortie est prévue pour le 23 avril via Bonsound. Avec sa basse pénétrante, sa ligne de synthés grandiloquente et ses vifs élans rythmiques, Nyx propage une puissante chaleur, qui rompt assez significativement avec le groove feutré et la mélancolie ambiante d’Indigo, premier single figurant sur l’album, dévoilé il y a quelques semaines. Ensemble, les deux chansons incarnent la dualité émotive et musicale qui prévaut sur ce deuxième opus, dont la précommande est maintenant disponible.

L’inspiration derrière le visuel ludique qui accompagne Nyx est née du costume rouge que porte Laurence-Anne sur une photo figurant dans la pochette de l’album. Joey Desjardins, qui a réalisé le clip et les animations, avance que pour créer le personnage qu’on voit en action dans la vidéo, il s’est demandé qui pourrait porter un costume comme ça et quelle fonction pouvait occuper une personne habillée de cette manière. J'me suis dit que ça collerait bien à un genre d'ouvrier extra-terrestre cloîtré dans une petite pièce au milieu de l'espace, dans une galaxie bizarre. Le clip, c'est son shift au centre de contrôle du Labyrinthe.

Regardez et partagez la vidéo de Nyx via YouTube.
L’extrait est disponible sur toutes les plateformes numériques.

Avec Nyx, Laurence-Anne ouvre une étonnante brèche dans sa jeune carrière. La pièce aux allants funk et disco a été écrite et composée par Laurence-Anne lors d’une retraite de création à Marsoui, en Gaspésie, avant d’être totalement remaniée avec ses musicien.ne.s. J’avais fait une version plutôt douce de la chanson, puis au moment de l’enregistrer, on est allés complètement ailleurs. La veille, on avait passé la nuit à danser sur la musique de Munich Machine. On est devenu fan après une seule écoute, dit-elle à propos de ce projet obscur du pionnier de l’italo-disco Giorgio Moroder. Au matin, c’était évident pour tout le monde qu’on voulait faire une chanson four-on-the-floor, et c’est celle-là qui y est passée.

Musivision, le deuxième album de Laurence-Anne, a été enregistré au studio B-12 à Valcourt aux côtés de ses fidèles musicien.ne.s Naomie De Lorimier, David Marchand et Ariel Comtois. Coréalisé par Félix Petit (Bellflower, Les Louanges), Musivision peut également compter sur l’apport du guitariste Julian Perreault (Corridor), du batteur étoile Samuel Joly (Klaus, Marie-Pierre Arthur) et du réalisateur Jesse Mac Cormack.

Laurence-Anne prendra la route vers le Saguenay–Lac-Saint-Jean la semaine prochaine afin d’y présenter quelques spectacles. Pour l'occasion, elle montera sur scène devant public pour la première fois depuis cet automne, à Alma et Chicoutimi, les 12 et 13 mars respectivement.

À propos de Laurence-Anne
Laurence-Anne est une autodidacte. Dès le début de son adolescence, elle apprend la guitare et compose ses premières chansons. Inspirée par Feist, l’artiste opte d’abord pour un créneau indie folk minimaliste, avant de tanguer vers une approche plus rock lorsqu’elle débarque à Montréal. La jeune vingtenaire troque alors l’acoustique contre l’électrique et fait sa place jusqu’à la finale des Francouvertes, en 2017. Deux ans plus tard, son album Première apparition atteint la longue liste du prestigieux prix Polaris et le sommet du palmarès des albums francophones de l’année à CISM. La nouvelle coqueluche des radios étudiantes et de la critique sillonne les principaux festivals de la province (Noce, FME, Frimat, FEQ, Festif) et tâte le terrain en France (MaMA, Aurores Montréal), avant de revenir chez elle enregistrer Accident, un EP plus rock, un brin punk, aux teintes indie pop et tropicales. Cette fertile et étonnante exploration sonore la mène maintenant sur les routes de Musivision, un deuxième album à paraître le 23 avril sous Bonsound.